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 ROYAL MONACO RIVIERA      ISSN 2057-5076

ROYAL MONACO MEDECINE/ On a, enfin, isolé les 4 causes principales du cholestérol

ROYAL MONACO MEDECINE/ On a, enfin, isolé les 4 causes principales du cholestérol

On a, enfin, isolé les 4 causes principales du cholestérol.

Mais la bonne nouvelle ne s’arrête pas là !


On a trouvé le moyen 100 % naturel de combattre le mauvais cholestérol et de l’expulser.

Mais, laissez-moi tout d’abord vous expliquer simplement qu’est-ce que c’est le cholestérol.

Indispensable au bon fonctionnement de l'organisme, le cholestérol (lorsqu'il est en excès), augmente le risque de maladies cardiovasculaires.

Mais quelles sont les principales causes d’un cholestérol trop élevé ?

On distingue 4 causes principales :


1) Le mode de vie Certaines mauvaises habitudes augmentent le risque :

  • La sédentarité ;
  • Une alimentation excessive ou déséquilibrée, trop riche en graisses (notamment animales) et en sucres ;
  • Le surpoids et l'obésité ;
  • Le tabac induit une baisse importante du bon cholestérol HDL et représente un important facteur de risque de maladies et d'accidents cardiovasculaires.

Les prédispositions héréditaires et génétiques

Pour des raisons génétiques, certaines familles sont davantage touchées par un excès de cholestérol. Rappelons que la durée d'exposition à un taux de cholestérol élevé joue également un rôle important dans l’apparition d’une maladie cardiovasculaire.

A l'inverse, certaines familles, là encore pour des raisons génétiques, présentent un taux de cholestérol plus bas que la moyenne.

2) L'âge
Après 50 ans chez l'homme et 60 ans chez la femme, le taux de cholestérol a tendance à augmenter. C'est la raison pour laquelle il est particulièrement recommandé de doser le cholestérol des personnes de ces tranches d'âge plus fréquemment. Après la ménopause, les femmes sont plus exposées, en raison des changements hormonaux et de la prise de poids, souvent fréquente pendant cette période.

3) L'origine géographique
Les populations européennes et américaines sont plus prédisposées que d'autres à l'hypercholestérolémie. A l'inverse, certaines populations asiatiques (les Japonais, par exemple) et africaines, présentent des taux de cholestérol particulièrement bas, même si, dans ces pays, les changements d'alimentation (consommation plus importante de sucres et de graisses) tendent à modifier ces données.

4) Certaines maladies et certains traitements
Une insuffisance rénale ou hépatique se traduit, aussi, par un taux de cholestérol élevé. Il en est de même pour d'autres maladies, telles que l'hypothyroïdie, par exemple.

Enfin, certains traitements, comme les pilules oestroprogestatives, peuvent augmenter le taux de cholestérol chez certaines femmes.

On voit, donc, que nous ne sommes pas égaux devant le cholestérol.

En prenant de l’âge et en devenant sédentaire, l’européen que nous sommes va voir son cholestérol augmenter automatiquement, s’il ne fait rien contre ce phénomène. Bien sûr une mauvaise alimentation et le surpoids n’aident pas dans ce combat.

Mais, il y a quand même de bonnes nouvelles pour ceux qui veulent retrouver un cholestérol à un niveau satisfaisant.

Les recherches des 10 dernières années ont permis d’isoler 4 actifs qui permettent de vous aider à expulser le mauvais cholestérol de votre corps.

La levure de riz rouge
Les centaines de tests cliniques portant sur la diminution du cholestérol associée à la consommation de levure de riz rouge sont tous unanimes, imaginez les résultats :

- Réduction du taux de cholestérol total des sujets prenant de la levure de riz rouge : de 13 % à 44 %.
-Réduction du taux de triglycérides : de 7 % à 44 %.

Dans les 2 cas, la levure a fait aussi bien que les statines et autres médicaments auxquels on l’a comparée.
La levure de riz rouge fait effet après 4 semaines de traitement et son effet s’est maintenu durant 24 semaines au cours des essais les plus longs. La levure de riz rouge est bien tolérée.

L’extrait de cacao Des chercheurs hollandais ont examiné les liens existants entre le cacao et la santé cardio-vasculaire de 470 Hollandais âgés de 65 à 84 ans. Les sujets ont été examinés et ont été interrogés sur leur consommation alimentaire, lorsqu'ils ont été enrôlés dans l'étude en 1985, puis à l'occasion des visites de suivi en 1990 et 1995. Les chercheurs les ont, ensuite, répartis en trois groupes selon leur consommation de cacao. Les informations concernant leurs maladies au cours des 15 années suivantes, les hommes consommant régulièrement du cacao avaient une pression sanguine significativement plus basse que ceux qui n'en prenaient pas. Pendant la durée de l'étude, les hommes du groupe consommant le plus de cacao avaient moitié moins de risque de mourir de maladie cardio-vasculaire.

Les phytostérol de soja

Les stérols végétaux, comme ceux du soja sont un groupe de molécules naturelles dont la structure chimique est proche de celle du cholestérol, un acide gras essentiel utilisé par notre corps pour produire les hormones et les membranes cellulaires. Ceux-ci diminuent le taux de cholestérol LDL (ou mauvais cholestérol) dans le sang en agissant sur son absorption dans l’intestin grêle, sans pour autant agir sur le taux de cholestérol HDL (aussi appelé « bon cholestérol »). Le cholestérol LDL peut entraîner la formation d’une plaque sur la paroi interne des artères (athérosclérose) et accroître le risque de développer une maladie cardiaque et un accident vasculaire cérébral.

Les oméga 3 Les Esquimaux, ou les pêcheurs japonais et crétois, qui absorbent beaucoup de poissons tout au long de leur vie, présentent dix fois moins de maladies artérielles que les Occidentaux. Et pourquoi tous les médecins conseillent d'augmenter la part des oméga 3 dans nos menus, en même temps que l'on diminue celle des mauvaises graisses ? Le concept n'est pas si compliqué : il suffit, par exemple, de remplacer l'huile de tournesol par de l'huile de colza (2 cuillerées à soupe par jour), ou de prendre de la margarine enrichie en oméga 3 plutôt que du beurre. Comme il nous faut 1,6 à 2 g par jour d'oméga 3 et que la majorité d'entre nous en absorbent à peine la moitié, certains laits et œufs en sont aussi enrichis. Les bénéfices d'un apport suffisant sont amplement démontrés. Ainsi, les femmes qui consomment du poisson une fois par semaine, voient leur risque de maladie coronarienne diminuer de 24 % par rapport à celles qui en mangent moins d'une fois par mois. Pour les personnes ayant déjà fait un accident cardiaque, deux repas de poissons gras hebdomadaires (la dose officiellement préconisée) réduisent de 73 % les récidives.

Très récemment, l’institut Actiscience a eu la bonne idée d’associer ces 4 « dynamiteurs » de cholestérol dans une seule et même gélule. Quand on connaît l’efficacité d’un seul de ces actifs, on imagine assez aisément quels résultats on peut facilement obtenir avec une combinaison hyper dosée et concentrée dans une seule gélule.

Vous voulez en savoir plus sur cette gélule, alors rendez-vous sur
institutactiscience.eu/core-forte.

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